Avoir sa propre entreprise : le projet d’une vie
Flexibilité, liberté, perspectives d’évolution : de plus en plus d’actifs décident de se lancer dans le monde de l’entreprenariat. C’est notamment depuis la création du statut de micro-entrepreneur en 2008 et ses démarches simplifiées que la tendance s’est confirmée. En 2020, la France a de nouveau battu son record avec plus de 840 000 créations d’entreprises.
Devenir son propre patron est une idée attirante. Que vous ayez une idée novatrice de start-up ou que vous souhaitiez reprendre une société déjà existante, votre vie professionnelle va devenir radicalement différente. Une nouvelle forme de liberté, certes, mais aussi de nouvelles responsabilités ! Du business plan à la rédaction des statuts, des contrats de travail aux déclarations fiscales… Les tâches de l’entrepreneur sont nombreuses et délicates. Certaines erreurs peuvent coûter cher, même quand on tente de bien faire.
Si l’on parle souvent du cap des trois ans pour une entreprise, c’est que les choix opérés dès le départ peuvent décider de la réussite du projet.
Les choix cruciaux du futur entrepreneur
Vous avez l’idée, il faut se lancer. Mais attention, c’est maintenant que commence le parcours du combattant.
Créer une entreprise, c’est décider de A à Z de son identité, à commencer par son identité juridique. SARL, EURL, SAS, EIRL, SASU… Ces sigles représentent une liste non exhaustive des formes juridiques possibles pour votre future entreprise. Pour faire son choix, il faut connaître dans les détails leurs particularités. Elles se différencient notamment en matière de nombre de gérants, de distribution des bénéfices ou de fiscalité. Tout dépend aussi de votre secteur d’activité. On ne crée pas la même entreprise pour un exploitant agricole et pour un rédacteur web, par exemple.
Pensez aussi à vos obligations. Vous n’avez peut-être pas encore prévu d’embaucher des salariés, mais choisir un statut qui le permet peut vous éviter des démarches laborieuses par la suite. Il faudra également penser à leur protection sociale.
Peut-être aurez-vous besoin de financements. En tant qu’entrepreneur, il y a ce à quoi vous avez le droit, parfois sans le savoir, et il y a ce que vous devrez chercher par vous-même. Pour convaincre un investisseur, ou une banque par exemple, vous devrez présenter un business plan solide. Il faut connaître son marché et sa cible, prévoir les grandes étapes du développement de l’entreprise et surtout faire preuve de réalisme. C’est ce qui est le plus difficile pour un jeune entrepreneur parfois aveuglé par sa propre confiance en son projet. Un tiers objectif est un atout indispensable.
Trouver le bon interlocuteur pour vous accompagner
Face à toutes les épreuves précédemment évoquées, chercher un accompagnement dans vos démarches est essentiel. Rappelez-vous que vous n’aurez que peu de marge de manœuvre au départ. Si c’est votre premier projet d’entreprise, notamment, faire confiance à des interlocuteurs expérimentés vous évitera à la fois de passer des heures à déchiffrer des textes de loi et de commettre des erreurs qu’il sera difficile de rattraper par la suite.
Étude de la faisabilité du projet, choix et rédaction des statuts, aide à la recherche de financement… Dans toutes ces étapes cruciales, le cabinet LDS peut vous épauler. Des équipes spécialisées en comptabilité, fiscalité et légalité vous suivrons à chaque pas. Implanté dans plusieurs grandes villes de l’Est de la France (Auxerre, Dijon, Mâcon, Dole, Sens, Tonnerre, Lons-le-Saunier et Salins-les-Bains), le cabinet d’expert comptable LDS vous garantit un départ réussi.